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Bienvenue au coeur du DHQ

     Le Dictionnaire des homicides commis au Québec (ci-après DHQ) s’intéresse à toutes les causes d’homicides, c’est-à-dire lorsqu’on se retrouve en présence d’un décès causé par une tierce personne. Cela inclut les homicides involontaires, prémédités (meurtres), ainsi que les causes qui se sont terminées par un verdict officiel de culpabilité ou d’acquittement. Enfin, le DHQ englobe aussi les homicides pour lesquels les tribunaux n’ont jamais déposé d’accusation, à savoir les causes non élucidées.  

     Le DHQ propose une classification qui se base principalement sur certaines recherches américaines concernant les crimes violents. Plus bas, une grille de classification tente de mieux cataloguer les types d’homicides, à la fois pour une meilleure compréhension mais aussi pour faciliter la recherche. Nous pensons qu’une meilleure classification deviendra un outil précieux pour dresser certaines corrélations entre des types d’homicides et même à mieux résoudre quelques-uns d’entre eux. 

     Dans les cas où les informations ont été insuffisantes pour bien déceler les motivations, le DHQ s’est abstenu de toute proposition en matière de classification. Dans ce cas, nous avons choisi de les placer sous la bannière des homicides à motif indéterminés. 

     Le DHQ n’a aucune prétention scientifique, mais il propose une façon d’étudier les homicides, tout en espérant en faciliter le repérage et susciter le partage de l’information. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il a été lancé en ligne en octobre 2024 : www.dictionnairehomicides.ca/  

     Contrairement aux condamnés à mort du Canada pour la période de 1867 à 1976, il n’existait aucune base de données pouvant permettre d’assurer au lectorat la présentation d’une exhaustivité sans faille de tous les homicides commis en territoire québécois depuis l’arrivée de Samuel de Champlain. Le présent ouvrage est donc, par définition, incomplet. En revanche, ironiquement, il représente maintenant le volume le plus complet sur le sujet. 

     Certaines études ont affirmé avoir recensé la totalité des homicides pour des périodes limités, par exemple entre 1954 et 1989. Toutefois, elles admettent se baser sur des sources comme Statistiques Canada et Allô Police. Or, Statistiques Canada a commencé à publier de telles données à partir de 1976, tandis qu’Allô Police était un hebdomadaire à sensation qui a débuté ses activités en 1953.1 De plus, ces études ne présentent pas les circonstances des crimes qu’elles examinent. On prive ainsi le lecteur et le chercheur2 d’une foule de détails qui, pourtant, sont primordiaux si on espère atteindre une meilleure compréhension des motivations criminelles en matière d’homicide.3 

     L’excellent ouvrage La criminalité au Québec durant le vingtième siècle, de Marc Ouimet, a permis de compléter certaines informations statistiques. Entre autres, il nous a permis de compiler le total d’homicides commis chaque année au Québec à partir de 1962. Pour ces années, il a donc été possible de comparer le nombre d’homicides que le DHQ a pu retrouver versus le nombre total. Cependant, pour la très longue période se situant avant 1962, les seules sources disponibles sont les journaux anciens, les enquêtes de coroner et différents types d’archives, incluant quelques monographies et le registre du Conseil Souverain de la Nouvelle-France. 

     À la lecture de la troisième édition du Crime Classification Manual (ci-après CCM-3), dont l’un des auteurs est John E. Douglas, le célèbre profileur du FBI à l’origine du département des sciences du comportement et dont la carrière a inspiré la série télévisuelle Mindhunter, on comprend à quel point il reste beaucoup de travail à faire dans l’indexation de nos dossiers judiciaires. Cela commence par une volonté de se doter d’outils convenables. Ceci dit, la classification du DHQ se base essentiellement sur celle du CCM-3. Cependant, plusieurs catégories ont dû être adaptées, créées ou supprimées pour mieux répondre à notre réalité. 

     Conscient qu’il est utopique de pouvoir répertorier tous les homicides commis en sol québécois depuis la Nouvelle-France, le DHQ souhaite, à tout le moins, présenter un échantillonnage satisfaisant qui permettra de dresser un portrait de la réalité des différentes catégories. Plus de dossiers seront recensés, approfondis et racontés, plus nous nous rapprocherons d’une meilleure compréhension de ce phénomène social. Le DHQ est un projet de recherche en continu. Nous vous invitons d’ailleurs à partager vos cas, photos et autres informations pertinentes. Chaque dossier compte. Nous ne pratiquons aucun préjugé ni hiérarchie quelconque envers les victimes. Chacune d’entre elles méritent son nom dans ces pages. 

     La consultation de tous les dossiers judiciaires4 des milliers de cas répertoriés dans ces pages5 était humainement impossible. Une telle recherche représenterait non seulement des heures incalculables de travail, mais plusieurs dossiers n’ont pas été conservés avant d’être versés à Bibliothèque et Archives nationales du Québec (ci-après BAnQ). Toutefois, lorsque l’exercice était possible, c’est à eux que nous avons accordé la priorité en matière de source d’information.6 Autrement, le DHQ a dû s’en remettre principalement aux articles de journaux, aux enquêtes de coroner ou à des auteurs qui ont déjà couverts certains cas. 

Politique de sélection

     Les rubriques (ou dossiers) contenues dans le DHQ sont classées par date, suivie du nom de la ou des victimes et, lorsque l’information était disponible, de leur âge7. Lorsqu’il y a plus d’une victime pour le même dossier, les noms des victimes sont séparés par un point-virgule. Toutefois, pour de rares dossiers, seul le nombre de victime a été inscrit sur cette première ligne car elles étaient trop nombreuses pour être nommées. 

     La seconde ligne indique le type d’homicide (selon la grille de classification). Lorsque les détails étaient insuffisants, la désignation utilisée se contente de présenter le cas comme un homicide à motif indéterminé. Cette ligne s’accompagne de certains détails concernant la façon dont l’homicide a été commis. Par exemple, on peut y retrouver le type d’arme utilisé (arme à feu, arme blanche, etc.), la cause du décès et finalement certains détails pouvant être utiles à la compréhension de la motivation du tueur, comme par exemple s’il y a eu une mise en scène ou présence de surpuissance. 

     La troisième ligne se consacre au lieu géographique où le crime a été commis. Dans plusieurs cas, nous présentons même une adresse précise. Cette ligne s’accompagne également d’une autre information nous indiquant le nombre de scènes de crime en lien avec le dossier, par exemple « 1 SC » pour une scène de crime. En effet, le nombre de scènes de crime dans un homicide peut être un indicateur important. 

     La quatrième ligne présente le nom du ou des tueurs, le lien qu’il avait avec la victime, et le résultat des procédures judiciaires à son endroit. En fait, cette ligne établi l’état du dossier et peut donc contenir aussi la mention « Non élucidé » pour des crimes qui sont demeurées de véritables mystères. 

Finalement, la cinquième et dernière ligne se consacre à l’état actuel du dossier. Voici un exemple d’en-tête de rubrique : 

 

Date du crime – Nom de la victime, âge de la victime 

Catégorie de motivation – type d’arme – autres détails 

Lieu (ville ou région du Québec) - ? SC (nombre de scènes de crime) 

État du dossier : nom du tueur, lien avec la victime, condamnation, sentence, état mental de l’accusé, etc. 

 

     Pour qu’une personne soit publiquement suspectée d’un homicide, une mise en accusation officielle doit avoir été déposée devant la justice. Par ailleurs, les personnes suspectées par une enquête policière ne peuvent être considérées comme des suspects sérieux, et encore moins s’ils ont été montrés du doigt par les ragots. C’est pourquoi le DHQ utilise la mention « non élucidé » pour désigner les cas qui n’ont connu aucun développement ou qui sont demeuré au niveau des enquêtes policières. Cette mention peut également être utilisée dans les cas d’acquittement, car ces verdicts laissent souvent les affaires sans suite. Pour qu’il y ait résolution d’un dossier, il est nécessaire d’obtenir une condamnation devant un tribunal. Dans certains cas d’acquittement, toutefois, le DHQ s’est abstenu d’insérer la mention « non élucidé » puisque le cas se prêtait davantage à de la légitime défense.  

Sources documentaires

Les médias écrits

     En matière de faits judiciaires, la qualité des sources est primordiale. Si la parfaite objectivité médiatique est un concept utopique, certains journaux, au fil du temps, ont écopé d’une réputation douteuse. D’autres, sans être parfaits, se sont bâtis une réputation plus enviable en raison de leur constance face à la rigueur. Le DHQ priorise, dans la mesure du possible, un minimum de deux sources journalistiques par rubrique afin de diminuer le risque d’erreurs. Dans plusieurs cas, cependant, cette rigueur a été impossible à respecter. À tout le moins, les journaux ont servi à faire du repérage.

     Le plus ancien cas d’homicide à avoir laissé une trace dans les journaux – du moins ceux qui ont été conservés – remonte à 1767. La mention publiée dans La Gazette de Québec fait allusion au meurtre d’Hannah McCook.

     À partir du tournant des années 2000, les sources Internet deviennent plus accessibles et, par conséquent, il a été plus aisé de référer à plusieurs d’entre elles pour résumer un seul dossier. Les références à celles-ci apparaissent en notes de bas de page, dans la médiagraphie présentée à la fin du volume ou alors dans le texte. Pour le présent ouvrage, qui s’arrête en 1950, les sources électroniques directes se sont avérées plutôt rares.

     Le 13 mars 1904, Monseigneur Bruchesi, archevêque de Montréal, faisait publier un texte dans Le Rappel afin de mettre en garde les journaux devant la curiosité du peuple envers les détails croustillants entourant les affaires criminelles. En fait, il écrivait ce texte en appréhendant le procès de Théophile Bélanger, accusé d’avoir tué son beau-frère avec un fusil de chasse. Il se permettait de qualifier cette curiosité de « malsaine » et suppliait les directeurs de journaux en ces termes : « Veuillez, je vous prie ne publier à propos de ce procès que les choses nécessaires et qui peuvent être lues sans danger par tout le monde. »

     Voilà une preuve directe du contrôle que pouvait exercer la religion sur la transmission des faits judiciaires, d’autant plus que, devant cette supplication, le journal Le Rappel acquiesçait à cette demande de censure : « nous nous ferons un devoir de suivre [cette recommandation] avec le plus grand respect. »

     Non seulement la transmission de l’information par les médias écrits subissait les influences religieuses et politiques, mais privait sans doute le public de détails qui pouvaient lui permettre de mieux comprendre un sujet qui, justement, était d’intérêt public. Aujourd’hui, sans ces détails, il est difficile, voire impossible, de reconstituer convenablement un crime. Il ne s’agit pas ici d’alimenter les amateurs de faits sensationnels, mais plutôt de véhiculer des faits qui permettent de créer un tout. Contrairement à la religion et la politique, l’histoire judiciaire repose sur les faits. Sans un minimum de détails, il est impossible d’espérer atteindre une compréhension satisfaisante des motivations des criminels, ce qui, espérons-le, peut nous aider à mieux nous outiller en matière de prévention et de résolution de crimes violents. N’oublions pas que les jurés ont aussi besoin de ces détails pour rendre un verdict juste et équitable.

     Les journaux, dont les principaux sont accessibles en ligne via le site de BAnQ Numérique[1], a représenté une source importante et surtout incontournable pour la création du DHQ. La principale difficulté était de s’orienter vers les bons titres selon les époques. Quoique leur existence est aujourd’hui menacée par une présence dominante de la documentation numérique – les médias sociaux et autres plateformes – les journaux traditionnels ont longtemps représentés une source d’information primordiale, voir unique pour certaines classes de la société. Plusieurs d’entre eux n’existent plus. D’autres ont une réputation peu enviable. Gardons cependant à l’esprit que ce type de source peut parfois s’avérer d’une fiabilité aléatoire. Il est donc nécessaire de faire preuve de discernement et de comprendre que les rubriques du DHQ peuvent contenir une marge d’erreur.

Les enquêtes de coroner

     Le système des coroners a été implanté avec l’arrivée des Anglais. En Angleterre, la fonction de coroner existait depuis déjà des siècles. Elle avait pour objectif d’enquêter chaque mort suspect afin de déceler, autant que possible, toutes les causes d’homicides car à cette époque le crime rapportait aux coffres du roi.

     Ici, les enquêtes de coroner se situent au cœur de la reconstitution des faits. Pour les dossiers survenus avant mars 1986, ces enquêtes sont maintenant conservées dans les différents locaux de BAnQ, ce qui implique un déplacement physique ou certains coûts afin de couvrir les frais de numérisation. Pour les autres, c’est-à-dire après l’adoption de la nouvelle loi des coroners, le 3 mars 1986, c’est le Bureau du Coroner du Québec qui est détenteur des investigations.

     Il ne faut pas croire que toutes les enquêtes de coroner faites depuis l’invasion britannique ont été soigneusement conservées. Plusieurs manquent à l’appel, et cela pour diverses raisons. De plus, la façon d’écrire ces rapports n’a pas toujours été uniforme. Elles l’ont d’abord été en anglais, puis avec une main d’écriture pas toujours facile à déchiffrer. Ces enquêtes étaient aussi plus succinctes, une tendance qui a repris après la loi de 1986.

     Après la nouvelle loi des coroners, en vigueur depuis le 3 mars 1986, il est plus facile d’obtenir les rapports d’investigation, simplement en transmettant une demande par courriel au Bureau du Coroner du Québec. Toutefois, ces rapports sont souvent beaucoup plus succincts qu’auparavant, ce qui s’explique en grande partie par le fait que les coroners n’ont plus la responsabilité de reconnaître une personne criminellement responsable d’une mort violente. Cette loi a principalement été changée afin de protéger la vie privée. Avant 1986, les enquêtes publiques permettaient aux journalistes de retranscrire un contenu parfois pervers. À la suite de cette loi, les journaux se sont faits de plus en plus prudents, par exemple lorsque vient le temps d’identifier une victime ou un suspect.

Les dossiers judiciaires (procès)

     Le dossier judiciaire contient tous les documents produits ou reçus entre la mise en accusation et le verdict. Et parfois, avec un peu de chance, il renferme encore des pièces à conviction.

     Pour certains cas présentés dans le DHQ, le dossier judiciaire a été étudié ou partiellement étudié. Il demeure la source d’information la plus complète et surtout la plus fiable, car c’est sur cette preuve que le jugement a été rendu. En contrepartie, il présente aussi l’inconvénient d’être volumineux. Il est donc nécessaire d’investir beaucoup de temps et d’énergie pour en analyser soigneusement le contenu. Il demeure la source de qualité par excellence. Pour quiconque prétend à une recherche exhaustif, il devrait automatiquement devenir une priorité.

     Avant l’arrivée de journaux investis d’un minimum de fiabilité et de l’arrivée des coroners dans la dernière portion du 18e siècle, les dossiers judiciaires ont pratiquement été la seule source d’information pour bien répertorier les homicides commis en Nouvelle-France. De nos jours, ils sont beaucoup plus détaillés et pour quiconque souhaite jeter un regard exhaustif à une affaire, le dossier judiciaire est un incontournable.[2] Il a encore valeur de preuve.

Autres sources d’informations

     Le chercheur doit tenir compte que les sources d’information varient selon les époques. Par exemple, le site web de La Mémoire du Québec présente une liste dénombrant plusieurs homicides commis depuis la période de la Nouvelle-France jusqu’en 1979. Bien qu’incomplet, cet outil a permis de faciliter un premier repérage dont les dossiers ont ensuite été détaillés par d’autres sources.

     Ce ne sont évidemment pas tous les homicides commis au Québec qui ont fait l’objet d’une monographie, quoique plusieurs se sont avérés d’une grande utilité. Par exemple, on pense aux écrits de Pierre De Champlain, qui évoque dans ses livres plusieurs meurtres reliés au crime organisé du 20e siècle; à la mère du petit Daniel Desrochers, cet enfant assassiné en 1995 dans le cadre de la guerre des motards; les confidences de la mère de Marc Lépine dans Vivre (2008); l’ex-épouse de Denis Lortie; et ainsi de suite. La plupart de ces ouvrages – à condition de garder un œil critique – présentent des éléments inédits sur les motivations des tueurs.

Les dossiers d’enquête (ou dossiers de police)

     Il est à noter que les informations contenues dans les dossiers d’enquêtes policières font l’objet d’une restriction de consultation pour une période de 100 ans. Dans la presque totalité des cas mentionnés dans le DHQ, ces dossiers n’ont donc pu être utilisés pour reconstituer les événements.

     Dans certains cas – et nous ne préciserons pas lesquels – nous avons bénéficié de l’appui d’enquêteurs qui ont travaillé dans les dossiers.

Le niveau d’exhaustivité

            D’autre part, nous devons préciser qu’au moment d’entamer ce projet en 2018, il n’existait aucune liste – et elle n’existe toujours pas d’ailleurs, sauf par le biais de notre publication – contenant tous les homicides commis au Québec depuis ses débuts, c’est-à-dire en 1608. Il a fallu attendre en 1962 avant que Statistiques Canada répertorie de manière sérieuse les homicides commis dans les provinces canadiennes, y compris le Québec, bien sûr. Donc, à partir de 1962, nous avons un chiffre total sur lequel nous fier. Dans nos recherches, nous avions enfin un but à nous fixer.

     Or, en 2024, nous avons constaté que nos chiffres dépassaient parfois ceux de Stat-Can. Selon eux, par exemple, il y aurait eu 62 homicides en 1962. Voilà que notre chiffre est plus élevé que 62.

     De plus, à travers les milliers d’articles consultés dans les vieux journaux et autres lectures, nous avons relevé que le chiffre total que présente Stat-Can n’est pas le même pour tout le monde. Autre exemple, pour l’année 1967, Statistiques Canada présente un chiffre total de 75 homicides pour le Québec. Or, selon une publication de La Patrie à l’époque des faits, il devrait plutôt y en avoir 67. Le Montréal-Matin a fourni le même chiffre. Pourtant, la Vallée de la Petite Nation, a publié le chiffre de 53. Pour sa part, le DHQ en a trouvé 70. Devant de tels résultats, sur qui se fier pour cesser les recherches?

     Car si nous devions nous diriger vers une publication papier, il devenait nécessaire, voir incontournable, de prendre la décision, un moment donné, de cesser les recherches et se concentrer sur le raffinement des textes, etc. Nous ne serons donc jamais, même avec des résultats soutenus par une institution nationale reconnue, si nous avons tous trouver les homicides qui étaient possible de trouver. Ce qui est sûr, c’est qu’ici nous vous présentons le résultat d’un projet colossal qui s’est échelonner sur plusieurs années et qui, par ailleurs, se poursuit.

 

Notes:

[1] Sur le site de BAnQ Numérique, plusieurs grands journaux du Québec sont publiquement accessibles. Depuis 2017, La Presse, Le Soleil, Le Nouvelliste et plusieurs autres sont même accessibles via la recherche intégrale de texte. En 2021, la recherche par texte intégrale est devenue possible pour tous les journaux numérisés par BAnQ.

[2] Malheureusement, certaines productions qui prétendent présenter des histoires de crime, sous quelle que forme que ce soit, n’ont pas consulté les dossiers judiciaires en lien avec les affaires qu’ils affirment connaître. Ainsi, le public doit être prudent avant de façonner son jugement.

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