Le 12 février 1920, dans le village de Ste-Philomène-de-Fortierville, on découvrait une fillette maltraitée qui succombait à l’ensemble de ses blessures quelques heures plus tard. Rapidement, l’enquête du coroner permit de déposer des accusations de meurtre contre le père de la victime et sa belle-mère, Marie-Anne Houde. C’est contre elle qu’on déposera l’accusation la plus grave prévue au Code criminel: meurtre avec préméditation. Son procès s’ouvre à Québec en avril.
La culture québécoise s’est ensuite chargée d’immortaliser ce drame mais en étudiant de près le dossier judiciaire de ce procès l’auteur s’est rendu compte qu’il y avait encore des choses à savoir. Pour la première fois depuis bientôt un siècle, le lectorat pourra se plonger au cœur de l’un des plus retentissants procès de notre patrimoine judiciaire.
« Ça se lit comme un roman », Denis Lévesque, TVA.
top of page
29,99C$Prix
0/500
bottom of page
