1976, 13 novembre-3 avril 1977 – Jean-Marc Lavergne, 25 ans
- 26 avr.
- 2 min de lecture
Homicide à motif indéterminé – Arme à feu (calibre .12) – Mise en scène
? / Saint-Jean-des-Piles – au moins 2 SC
Non élucidé.
Le 3 avril 1977, le corps de Jean-Marc Lavergne a été retrouvé dans la rivière Saint-Maurice à Saint-Jean-des-Piles, sous le pont du « crique à Bernier ». Le corps portait des marques de violence et avait été atteint de projectiles d’arme à feu. Jean-Marc aurait été vu vivant pour la dernière fois le 13 novembre 1976 alors qu’il quittait le Bar l’Écluse à Shawinigan.
Dans les semaines qui ont suivi la découverte du corps, la SQ a annoncé que l’enquête avançait lentement. Selon l’autopsie, il aurait été tué d’une décharge de calibre .12 tirée derrière la tête. « Son corps a ensuite été attaché à une pierre pesant une cinquantaine de livres et jeté du haut d’un pont dans le ruisseau « cric à Bernier », près de Saint-Jean-des-Piles. »[1] (Montréal-Matin, 5 avril 1977. On a aussi mentionné que Lavergne n'avait aucun passé criminel.
En juin 1977, Le Nouvelliste a écrit que les plongeurs de la SQ avaient trouvé une arme à feu et on présumait qu’elle avait un lien avec la mort de Lavergne. Enfin, on a spécifié qu’il avait été vu pour la dernière fois le 13 novembre 1976 au bar l’Écluse de la rue Frigon, à Shawinigan.
En août 1980, Le Nouvelliste a mentionné le cas de Lavergne parmi plusieurs autres qui n’avaient toujours pas été résolus. Pour la première fois, on parlait de la possibilité d’un règlement de compte. En 1985, Le Nouvelliste est une fois de plus revenu sur l’affaire, mais cette fois en commettant l’erreur de placer la découverte du corps de Lavergne le 3 avril 1978. Cette fois, on ne lui a consacré qu’un paragraphe de cinq lignes.
[1] Montréal-Matin, 5 avril 1977.
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